•• Je ne suis pas un mec, encore moin un ange, pigé ? •• Admin

•• 2 Mai 1992 - Londres 20h12

▬ Un homme se trouve dans le couloir. Il est habillé d'un smoking deux pièces, avec des chaussures italiennes parfaitement bien cirée, et une paire de lunette sur le nez. Ses prunelles marron parcouraient les lignes sur journal qu'il était en train de lire. C'était la Gazette enfaite. Il semblait complètement plongé dans sa lecture. Où se trouvait-il ? Et bien, c'était dans un couloir d'un hopital de New-York. Quelques heures plus tôt sa femme et lui se rendait tout les deux au mariage du frère de Mister Williams. En cours de route cependant, sa femme l'avait arrêté en posant délicatement une main sur son épaule, lui annonçant qu'il devait impérativement faire demi tour alors qu'ils allaient bientôt arrivés. Si le ton de la jeune femme n'avait pas été si...étrange, il ne l'aurait sans doute pas entiérement écouté, aurait d'abords posé une question puis essayé de la convaincre mais, là c'était différent. Un filet de sang s'écoulait d'entre les cuisses blafardes de sa femme qui portait à cette occasion une robe de soirée blanche. Il avait vite compris que sa femme perdait les eaux et c'était directement dirigée vers l'hopital le plus proche et au diable le mariage, ils avaient une très bonne excuse. Cela faisait plus de cinq heure qu'il attendait. Il était sortit une seule fois pour s'acheter de quoi patienter, dont cette brochure. Une infirmiére d'une vingtaine d'année s'appocha de lui et posa une main sur son épaule avant de se pencher pour lui murmurer quelques mots à l'oreille et l'homme se leva passant dans la salle à côté, là où se trouvait sa femme et l'enfant qu'elle venait de mettre au monde. Le bébé hurlait ! Hurlait contre ses idiots qui avaient eu l'audace de l'enlever à la douceur et à la chaleur du ventre de sa mère. Hurlait contre ses abrutis qui osaient ainsi violer son intimité. Ce bébé n'était autre que Skye. Une enfant pleine de promesse...

▬ Skye à toujours eut une enfance disons compliquée. Pourquoi ? Parce que c'était comme cela. Poussée sous le feu des projecteurs dès son plus jeune âge par son père, qui lui étais un producteur dans un label Londonien, la jeune fille à dut s'habituée à ne jamais trop s'attacher aux gens qu'elle rencontrait. Tout bonnement parce qu'elle savait qu'un moment ou un autre, elle serait forcément obligée de dire une phrase qui ne fais jamais plaisir, au revoir. Elle à vécut pour la plupart de son enfance sur les routes des diverses tournées. Ont avait vite remarquée sa préocité dans en matiére artistique et cette si belle voix qui s'échappait de sa bouche lorsqu'elle chantait ! Pour un producteur, c'était une occasion à ne pas loupée. Même si c'était sa fille. Que voulez vous, Skye faisait ça en partie parce que cela l'amusait, mais surtout pour faire plaisir à son père.

Ce n'était pas la première fois que mes parents se disputaient. C'est temps-ci, c'était quotidien, il ne fallait même pas s'en étonnés. J'aurais préférée qu'ils se taisent et pourquoi pas que nous dînions tous les trois comme une vraie petite famille, un peu comme celle que l'on voit à la télé et qui rit autour de la table. Mais bon, c'était bien trop rêvée et je n'étais pas aussi naïve.

Leurs voix me donnais la violente envie de partir en courant de ne plus jamais les entendre. Je me trouvais assise sur le canapé. Le poste de télévision était éteint parce qu'il venait tous juste d'avoir une panne d'électricité. C'est d'ailleurs ce qui avait déclenché la dispute. Mon père était en train de discuté avec un auteur par MSN, pour que celui ci m'écrive une chanson et le courant avait sauté. Papa avait ragé et m'a mère explosée. Ce n'était pas la premiére fois qu'ils remettaient la discussion sur le tapis et je me demandais un peu quand auraient-ils la présence d'esprit d'enfin en terminés. Ma mère Kathleen à se moment là, monta violement à l'étage et ont entendis facilement la porte claquée et un silence pesant s'installé. Je mis mes écouteurs dans mes oreilles et fermit les yeux. Mais quelques minutes plus tard je sursautais lorsque j'entendis quelques choses de lourds percuter les marches de l'escalier et je me levais a demi pour voir Kathleen, ma mère, trainer une valise derrière elle, et claquée la porte. Sans dire aurevoir.

▬ Depuis que sa mère est partie, Skye n'a plus jamais été la même. Certes elle restait une petite fille joyeuse de vivre et tous ce qui va avec, mais cela se dégradait, elle perdait même goût à chantée ses chansons. C'était tous simplement comme cela. Bien qu'elle sortait toujours des albums et tous le reste ce n'était plus pareil. Son père ne s'occupait d'elle que lorsqu'il était de congé, jamais donc. Elle devint une fille très solitaire et surtout indépendante, elle à toujours tenue à sa liberté et toujours à présent. Elle en restait tout de même sociable mais à petite dose. Pour elle, sa mère l'avait laissée dans un monde immense qu'elle ne comprenait pas et ne comprendrait jamais. Ce fut une nouvelle qui le boulversa. Qui le brisa.

▬ Je me trouvais encore au studio de mon père mais je n'arrivais bizarrement pas à me concentrée. Grattée ma guitare ne m'émoustillait plus autant qu'avant et le simple fais d'ouvrir la bouche m'agaçais. La musique m'était-elle révolue ? Cela faisait pas mal de temps que cette question me trottait dans la tête. Peut-être était-ce le fais d'avoir été poussée dedans trop jeune, forcée parfois. Je ne savais plus. Je pris un instant mon visage entre mes doigts fins. Cela me fatiguait de plus en plus, je ne voyais plus l'interêt de poursuivre si ce n'est faire plaisir à mon père, Michael. Mais je n'étais même pas sûr que cela me suffisait comme excuse à présent. Je déposais mon instrument à côté de moi avant de me lever et de regarder fixement le cadre que j'avais posée des années plutôt sur l'étagére du milieu, au mur. Le cadre ou il y avait une photo de moi, mon père et ma mère. Je souris un instant face à cette image idyllique. Elle me manquait de plus en plus c'est dernier temps, je ne l'avais pas revue depuis quatre mois au moins et cela me pesait atrocement. J'avais un concert dans quelques heures, elle m'avait promis qu'elle viendrait. Je caressais la protection de verre avant de me remettre au travail, j'avais à faire. Il fallait que je m'occupe, dans quarante minutes, se serait à moi.

▬ Je respirais à fond me répétant les conseils que mon père venait de me souffler. Oui j'étais un peu nerveuse même si ce n'était pas la première fois que je montais sur une scéne. Bientôt mon nom fut nommée et je montais les marches du petits escaliers pour arrivée sur l'estrade. Les lumières se posérent sur moi et je clignais des yeux. Je m'avançais sur la scène d'une démarche décontractée. je sentais la tension et l'energie de mon public devant moi. La salle était pleine à craquée. Je souris et entamais ma première chanson.

Lorsque j'eu terminés le concert je redescendis et mon père me serra contre lui. Kathleen était là elle aussi et j'abandonnais surement un peu trop vite l'étreinte de mon père pour me jeter dans les bras de ma mère. Je l'embrassais plusieurs fois, contente de la revoir. Après quelques minutes de discussion, je partie avec elle. Nous nous étions arrangées pour que je dorme un peu chez elle pour une fois au lieu de me contenter de ma loge. Ma mère conduisais et nous chantions comme des folles sur un groupe de Rock que nous adorions toutes les deux. Ma mère tourna à droite, et je la regardais lorsque je vis des fards. Deux violentes lumières s'approchée a grande vitesse vers nous. Comme au ralentie, ma mère la regarda à son tour, puis se tourna vers moi une expression horrifiée sur le visage. Puis la douleur. Le noir complet.

J'eu un violent accident cette nuit là.J'aurais très bien pu ne pas m'en sortir. Enfaite je suis même restée inconsciente pendant deux bonnes semaines, ayant plusieurs côtes cassée et un traumatisme cranien. Lorsque je me suis réveillée, des aiguilles étaient plantée dans mes mains et quelques choses couvrait mon nez. Mon père était endormie près de moi. J'avais légèrement remuée et il c'était réveillée en sursaut. Lorsqu'il me vit consciente, ses yeux s'embuérent de larmes et il s'effondra sur moi en sanglotant, des mots presques inaudible entrecoupés

Je me souvenais des fards et soudainement effrayée je posais sur lui un regard interrogateur, qu'il comprit bien évidement, c'était très clair comme question. C'est yeux criait " Maman?" Il ne pu rien articuler et se contenta d'hocher la tête négativement avant de se reprendre et de caressée mon front. Quant à moi, mon petit monde s'effondrait.
Plus tard lorsqu'un medecin m'examina, je dus m'asseoir sur une chaise et il me posa quelques questions, mon père était là, les bras croisés, nerveux.

Avant que je ne puisse dire quoi que se soit, la réponse fusa dans la pièce sans que je ne puisse intervenir.

Je répondis. Enfin non. Je voulut parler mais seul mes lèvres bougérent, rien de plus. Je baissais les yeux vers mes mains.

Je sentais que mon père se détendais, mais je n'allais pas bien. Du moins psychologiquement. Continuant son examen, le medecin prit une lumiére et voulut examinée mes yeux. J'eu un flash violent et les deux fards de la voiture qui nous avait percutées ma mère et moi me revinrent en mémoire et je me détournais brutalement, ma respiration devenant soudainement haletante. Je revins chez moi trois jours plus tard.

▬ Skye par la suite ne voulut plus chanter. Son père avait beau essayée de la convaincre elle ne voulait plus touchée un micro de sa vie. C'était comme cela. Elle en avait honte. C'était de sa faute si sa mère c'était trouvée dans cette voiture. Sa faute parce qu'elle avait voulut prendre cette route au lieu du petit chemin que sa mère proposait. En gros, les remords du survivants l'atteignait et elle culpabilisait. Elle fit plus un album et cela décevait ses fans. Et bien elle s'en fichait. Qu'ils aillent s'éprendre d'une autre personne, elle avait donnée. Ils déménagérent dans un endroit moins peuplée, Santa Barbara. Et même si elle était encore connue la-bas elle restait tout de même aussi sympathique qu'elle pouvait l'être avec les autres. Un autographe par ci, un autographe par là, qu'est-ce que cela pouvait changée ? S'il n'y avait que ça pour rendre quelqu'un heureux...

La première chose à dire sur son caractère c'est qu'elle n'en à rien à faire de ce que vous pouvez bien pensez d'elle. Elle se fiche complètement de ce qui peux bien traversée votre esprit. Elle vous donnera aussi l'impression que vous la connaissez mieux que quiconque ! Mais vous n'en serez même pas au quart de ce qu'elle pourrait vendre. Skye est une fille mystérieuse, qui renferme une personalité hors du commun. Elle n'aime pas étalé ses problèmes devant les autres. Et même si c'était le cas, elle déteste d'autant plus lorsque l'on essaie de la consoler. Elle à l'impression dans se cas là d'être faible tout simplement. Oui Skye est une fille au fort caractére, elle n'accepte l'aide de personne sauf en cas d'extrême urgence et qu'elle ne peut pas faire autrement. En faite, la jeune Williams à tellement de facettes que toutes les décrirent prendraient des années entiéres ! Pour vous laissez encore plus de travail car elle ne se connait pas entiérement toute seule. Affectée par la mort de sa mère, Skye évite le sujet et se noie dans les occupations diverses pour évitez de laissez la souffrance prendre le dessus. Elle n'a jamais voulu pleurer devant quelqu'un, allez savoir pourquoi ! S'occupée lui évite de pensée, elle se concentre tellement sur ce qu'elle fait que tous ce qui en est extérieur disparait. Toujours sarcastique, elle peut très bien vous envoyée sur les roses si vous l'agacez. Skye à toujours été directe avec les personnes qu'elle fréquentait. Elle vous aime, ou elle ne vous aime pas, pour elle c'est tout simple. Pour elle, tout est noir ou blanc. Rien est gris. Lors de ses rares moments de gaieté la jeune femme redevient la fille amusante, gentille et généreuse qu'elle était auparavant. Les gens qui la voient un jour ainsi ont mal par la suite lorsqu'elle reprend sa mine d'outre-tombe. C'est qu'elle est lunatique. Elle à beaucoup de saute d'humeur surtout ses derniers temps. Par contre, la jalousie est un sentiment qui lui est complétement inconnu. Elle n'a jamais compris ce que cela signifiait. Par contre la colère ne lui est pas étrangére. La rage la prend souvent même. Il lui est arrivée de se brisée une jointure en cognant dans un mur pour évité de cogner sur son père. Skye aime particuliérement être seule. Même si la popularité lui oblige le fait d'être reconnue, elle doit s'installée parmis c'est filles. Vous savez, celle qui plait toujours et encore aux garçons, celle qui sont superficielle. Les filles sans aucune profondeur d'âme. La jeune Williams est aussi la fille la plus têtue que le monde n'est jamais vu. Elle s'obstine à défendre ce qui lui tient à coeur et y met beaucoup d'energie, elle fera tout pour vous persuadée que vous avez tort et qu'elle à raison. Elle tient aussi énormément à son indépendance; étant autonome depuis pas mal de temps déjà. S'il y a bien un sentiment qu'elle n'apprécie pas c'est bien l'ennuie. Pour elle, il n'y à pas pire. Surement pour cela qu'elle c'est sentie obligée de s'inscrire au club de theâtre de son lycée. Après tout, elle a une âme d'artiste, qu'elle le veuille ou non. Personellement j'aime la comparée à un oiseau. Oui un oiseau aux ailes brisées qui ne veulent pas se réparé et l'empêche de s'envoler loin et haut dans le ciel.

Les choses vont se compliquer il me semble. Pour faire simple je ne m'aime pas plus que ça, on m'a répétée des tas de fois que j'étais une belle blonde chanceuse d'avoir un corps comme ça, une si belle bouche, la peau douce, un sourire craquant et des yeux à vous faire pâlir. En bref, j'ai toujours entendu que j'étais belle voir magnifique donc je ne devrais pas me plaindre. Mais personne n'est content de ce qu'il à pas vrai ? Néanmoins je vais essayer de me décrire avec suffisamment d'impartialité pour que vous puissiez vous faire vraiment une idée de ma morphologie. Et de mon charme aussi. Me voila repartis avec les compliments, mais cette fois je n'y peux rien car on m'a dit et répétée que j'étais pleine de charme et qu'on était obligé de me voir dans la rue. Pourtant je ne suis pas bien grande, je suis optimiste en vous annonçant un mètre soixante neufs, je suis plus près d'un mètre soixante sept enfaite. Mais je n'ai jamais été gênée avec ça, bien sur tous mes amis particulièrement masculin puisque moi et les filles ça fait deux, s'amusent à me répéter que je suis toute petite et en profite pour se moquer. Mais tous ce qui est petit est mignon non ? D'ailleurs quand je leurs répond avec l'aide de ce petit dicton que j'apprécie, ils m'offrent un grand sourire pour me dire que mignon ne suffit pas à me définir. Dois-je le prendre en compliment ? Je pense que oui. Certain me qualifie d’ange, je serais pleine de fraicheur et cela en ferait craquer plus d'un. Ce qui est un peu vrai d'ailleurs, je suis légèrement pâle mais je le dois à mes origines, merci maman car tous le monde trouve ça très beau, heureusement je bronze un peu en été ce qui me va très bien. Encore une fois d'après les autres, mais d'accord je dois bien avouer que la nature m'a plutôt gâtée. Très jolie ? Oui on peut le dire étant donner tous les regards qui me suivent quand je sors, je suis pourtant naturel tous le temps et je ne me prend pas la tête. J'ai de longs cheveux blonds comme le soleil, j'ai de la chance car je peux les coiffer comme je veux et tous me vas. J'ai reçu que des compliments sur mes boucles blondes ou sur mes longs cheveux lisses, en bref, tous le monde adore mes cheveux. Et moi... Je les supportent plutôt bien.
Mais il y a une chose que j'aime chez moi, enfin une demi car il y en a une autre que je trouve pas trop horrible. Mes yeux. Ils font tourner de nombreuses têtes et la petite étincelle qui y vit n'y est pas pour rien je pense, toujours brillant et intense, je les soulignent d'un trait noir et après plus personne ne me résiste. Certes c'est prétentieux de dire cela mais c'est la stricte vérité, testé et approuvé je vous promet. Oscillant entre le bleu et le vert, je ne vais pas m'en plaindre. Je les aiment vraiment et celui qui vous dira qu'ils sont moches et sans la moindre expression je veux bien l'embrasser. Enfin, façon de parler bien sur. Car mes lèvres personne ne les aura, justement j'en arrive à la deuxième chose qui n'est pas trop mal sur moi, ma bouche. Petites et rosées mais qui ne passent pas inaperçue, un sourire y est souvent accroché et beaucoup on tenté de les approcher suffisamment pour sentir mon souffle tous proche de leurs propres bouches, mais un seul à put les sentir contre les siennes et ça n'arrivera plus. Et je dois avouer qu'en voir languir pas mal est assez amusant. Sadique ? Peut être un peu, mais c'est marrant de jouer non ? Et comme j'ai de quoi le faire j'en profite. Car malgré le fait que je sois assez petite, j'ai remarqué que beaucoup de mec de mon lycée m'observait depuis que je suis arrivée à Santa Barbara et ne me ratais jamais, pour eux je suis "bien faite". En gros j'ai un ventre plat, un peu de poitrine et des jolis hanches, voila de quoi les rassasier. Pitoyable non ? Surtout qu'ils peuvent baver autant qu'ils veulent, ils ont aucune chance de le voir de plus près et encore moins de toucher. Les plaisirs de la chair ne me sont pas tabous loin de là, je n'en ai juste trouvée aucun à qui j'ai envie d'offrir ma confiance et mon coeur, les coups d'un soir ne m'intéressant pas, même si avec mon physique je pourrais y arriver facilement, je préfère attendre. Et je vous arrêtent tous de suite, je ne suis plus vierge depuis un moment, mais là on s'éloigne du sujet car ça ne fait pas partie de ma beauté extérieur.
Je m'efforçais donc de vous dire que j'étais chanceuse, car malgré ma petite gourmandise, surtout avec le chocolat qui est sûrement mon meilleur ami, je garde un corps parfait en toutes circonstances et me mettre en maillot de bain n'est pas bien gênant pour moi, mais tous le sport que je fais m'aide beaucoup et malgré une apparence fine et délicate, je vous assure que je sais frapper. Vous voulez essayer ? Dis comme ça, vous avez le droit d'en rire, surtout lorsqu'on me croise dans la rue. J'ai un style peut être un peu particulier pour certains mais qui me plait donc je me fiche des autres, la plupart du temps en slim, parfois coloré, parfois dans des teintes sombres. Je porte ce que je veux quand je veux, mes hauts varie en fonction de mon humeur et je m'amuse à mélanger des couleurs originales juste parce que j'en ai envie. Rarement sans converse ou sans basket, pour moi la simplicité avant tout et aussi le confort, mais comme je suis à l'aise dans presque tous je n'ai pas trop de problème. Il peut arriver que je sois en jupe mais ce sera très très très rare, bon donc presque impossible. Sauf avec l'uniforme lorsque j'étais au collége bien sur, mais le reste du temps cela n'arrive jamais, surtout que les rares fois où j'ai été en robe ou en jupe j'avais le droit aux yeux de tous les mecs de l'école sur mes jambes. Fines et gracieuse, je n'y peux rien si mon corps les attirent autant car je n'ai rien demandée pour ça, mais je dois bien avouer que c'est très flatteur. Une fois quelqu'un à pensé à regarde mes cheville et à put voir une petite chose particulière, un tatouage sur ma cheville droite, la petite étoile noire que je possède depuis quelques années n'est pas passé inaperçue aux yeux d'un jeune homme qui m'a bien surprise ce jour là. Comme quoi certain ne regarde pas que mes courbes qui ont déjà été qualifié d'harmonieuse. Il devait être romantique lui. En ce qui concerne les petits rajouts pas naturels présent sur mon corps, j'ai également un percing, vous savez ces bouts de métal que certains jeunes s'accrochent partout sur le visage et bien j'en ai un, un seul bien dissimulé sous mes t-shirt. Mon nombril a été percée il y a un an déjà et la petite boule aussi bleu que mes yeux est toujours là d'ailleurs. J'en attire pas mal avec cela d'ailleurs lors des entrainement par exemple. Peut être le fait que je sois britanique n'y est pas pour rien dans mon charme. Qui sait. En tous cas j\'ai compris que j'étais vraiment belle, sublime, parfaite.. Bon d'accord j'exagère un peu. Ca fait du bien de s'envoyer des fleurs de temps en temps.
Mais je vous plait quand même hein ?